“La France ne souffre ni de son chômage ,ni de sa dette, elle est malade”…
De ses “élites”, de ses “responsables” politiques, de ses “dirigeants”.
Mais aussi de la complaisance, de l’hypocrisie de ses “grands” médias, privés et aussi publics, qui, dans leur écrasante majorité soutiennent le gouvernement, taisent les abus, les scandales, méprisent, conspuent et refusent d’inviter, de montrer, de donner la parole aux véritables opposants.
Leur travail se résume à désinformation, manipulation et propagande.
Malade de la servilité de sa justice et de celle de sa police, qui, toutes deux, soutiennent indéfectiblement ce pouvoir malsain qui ruine notre pays.
Malade de ses gradés chez les militaires, qui ont accepté des ordres parce que leur rémunération est plus importante que leurs principes et qui continuent à approuver le pouvoir en place.
Malade enfin de l’indifférence, de l’ignorance, du découragement ou de la naïveté de la population, qui a réussi l’exploit d’élire un banquier sorti de nulle part, après une propagande digne des républiques bananières, et de lui donner la majorité absolue à l’Assemblée.
